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16 mai 2024

Jamais deux sans trois ! ! !

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placebo.jpg Si Pravda en russe signifie « la vérité » c’est aussi le nom de la première partie présente. Une jeune femme vêtue comme Leeloo Dallas dans le 5ème élément, tenant bon la bass occupa la scène accompagnée d’un clavier et d’une guitare. Les fans des B’52 auraient aimé à coup sûr.

Pendant ce temps, la pinède n’en finit plus de se remplir et bientôt, plus un grain de sable ne sera disponible. Brian Molko chauve, Stefan Olsdal plus grand que jamais et Steven Hewitt font feu sans attendre.

« Bonsoir mesdames et messieurs de Juan les Pins, nous sommes les mesdames et messieurs de Placebo » Tout est dit, les présentations sont faites, nous ne sommes plus des étrangers, l’union est donc à consommer.

Quelque soit la première, la quatrième ou la dernière chanson choisie, le public sait que ce sera bon. Le groupe en place après des années de scène n’aura aucun mal à avoir l’adhésion de tout le monde. La voix de Brian Molko fait la particularité du groupe. Lui tel un terminator ne semble rien craindre ni personne. Il supplante la foule et travaille sa scène. Ses acolytes font de même avec désinvolture et légèreté histoire de nuancer les émotions.

La nuit tombe et on se laisse aller pris au jeu. Quelques gouttelettes ont tenté de jouer les troubles-fêtes mais rien à faire, le talent et l’excellence étaient là, l’essai ne fut donc pas transformé, le concert un des plus beaux de l’été sans aucune contestation possible.

Le temps passe sans temps morts. La fin approche et toujours pas de « protect me from what I want », ni de « This picture ». Il reste les rappels, ils ne vont pas partir sans faire ces deux là.
Et bien si, le concert s’arrête comme un mal entendu. La foule se sort aussi rapidement qu’elle était arrivée et la perplexité traverse quelques personnes qui n’ont rien vu venir.

Finir le concert sans que tout ait été donné est une nouvelle tendance d’après Julien (le chanteur )d’Amadeus Tappioka qui accompagné de Lou « le batteur » n’ont rien perdu du spectacle. Il vaut mieux une chanson de moins qu’une de trop…
Sans doute. Bien qu’une petite demie heure eut satisfait un grand nombre. Ils reviendront certainement une prochaine fois.

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