Suite à la lettre-ouverte adressée par Patrick Allemand au maire de Nice en lui demandant d’exercer le droit de préemption pour l’achat de l’appartement où habita à Nice le héros de la Résistance Jean Moulin mis en vente par son propriétaire acteul, la Ville de Nice tient à apporter les précisions suivantes :
« S’agissant du studio de 35m², inaccessible au public, n’est pas situé dans le périmètre du droit préemption renforcé et que l’article L211-4 du Code de l’urbanisme précise que le droit de préemption ne s’applique pas à l’aliénation d’un ou plusieurs lots constitués par un seul local d’habitation. Par ailleurs, cet appartement fait déjà l’objet d’un compromis de vente ».
L’implication de Christian Estrosi dans les nombreux hommages aux grands hommes qui ont lutté pour notre liberté, marque son attachement, sans cesse renouvelé à notre histoire.
Dans le cadre de la commémoration du soixantième anniversaire de la Libération des Alpes-Maritimes, en 2004, Christian Estrosi a, pour la 1ère fois en France, en tant que Président du Conseil général des Alpes-Maritimes, consacré une exposition à l’œuvre de Jean Moulin.
Cette exposition, intitulée « Jean Moulin, l’artiste Résistant » présentait des œuvres réalisées par l’artiste et exposées auparavant dans sa galerie Romanin, couverture officielle de ses activités clandestines. Mesdames Suzanne Escoffier et Andrée Dubois, cousines de Jean Moulin, ont assisté au vernissage. Un catalogue, avec une préface de Daniel Cordier, secrétaire et un témoignage de Colette Pons, a été édité à cette occasion par le Conseil général. Cette exposition a connu un grand succès avec près de 12 000 visiteurs.
Dans le même esprit, la Ville de Nice a installé une stèle commémorative de Jean Moulin sur la place de la Libération, ainsi qu’une statue du général de Gaulle.
Le programme de manifestations patriotiques de la Ville de Nice prévoit, pour les 70 ans de la disparition tragique de Jean Moulin, assassiné par la Gestapo, une nouvelle exposition et une commémoration en son hommage, en juillet 2013.
« Alors que certains se contentent de commenter, pour ma part, j’ai agit et je continuerai à le faire, en défendant ce devoir de mémoire » a affirmé Christian Estrosi, Député-maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur.
Notre commentaire:
Patrick Allemand>Christian Estrosi c’est comme chien et chat!
Dans ce cas c’ést ‘instrumentalisation> polémique’, une demande mal posées contre une réponse mal placée.
C’était si impossible d’interpeller directement et au temps voulu le proprietaire?
