Récupération de Donnèe
18.4 C
Nice
4 mai 2024

Cantonales 2011 : Hervé de Surville, candidat dans le 12ème canton de Nice

Qui est le candidat de L’Union Pour Nice ? Son profil et les raisons de son engagement dans le 12ème canton de Nice. Nice-Premium lui a donné la parole comme il le fait pour chaque candidat des prochaines élections cantonales du mois de mars prochain.


de_surville_article.jpg A la demande de mes amis de l’Union Pour Nice dont je suis le Président Fondateur, je présenterai ma candidature aux suffrages des électeurs du XII ème canton de Nice les 20 et 27 mars 2011.

Il s’agit d’une candidature de conviction car ce 12ème canton qui culmine à l’est de Nice et dont la diversité fait sa richesse, a besoin d’un Conseiller Général présent, efficient et compétent.

Docteur en Droit, diplômé de l’Institut Européen des Hautes Etudes Internationales, mais aussi de l’Institut des Hautes Etudes de Sécurité Intérieure et de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale, j’ai obtenu de nombreuses décorations au service de Nice (Ordre National du Mérite, Palmes Académiques, Mérite Agricole, Jeunesse et des Sports).

Profondément attaché aux valeurs de loyauté, de dignité et de solidarité, je m’engage avec détermination pour ce XII ème canton de cette ville de Nice dans laquelle, j’ai grandi, fait toutes mes études, où je travaille et où j’habite avec ma famille.

Haut fonctionnaire à la Mairie de Nice pendant plus de 20 ans, j’ai acquis une forte expérience que je souhaite désormais mettre au service de ce mandat électif, pour encore mieux servir l’intérêt général.

Universitaire, détenteur d’un savoir faire et d’un vouloir faire, je désire activement faire prospérer ce XII ème canton, car les défis de ce territoire sont nombreux.

En tant qu’administré, je dénonce la gestion totalement incohérente de l’actuelle municipalité avec des projets infinançables et des dépenses inutiles, qui ont pour conséquence directe l’augmentation de nos impôts.

En tant que citoyen, je pense que la politique est une vision éthique avec conviction de la société, et surement pas un arrivisme caporaliste et mégalomaniaque.

Or, Nice est entrée progressivement depuis 30 mois dans une autocratie avec une personnalisation du pouvoir, un arbitraire, des privilèges et des courtisans.

Homme de dialogue et d’écoute, tenace et volontaire, je veux mettre mon expérience et ma compétence au service de ce XII ème canton, qui a besoin de proximité, d’humanité et de fraternité.

Je veux améliorer le cadre de vie dans les domaines : de la sécurité et de la propreté, des transports en commun, de la lutte contre le bruit, de la circulation et du stationnement, du logement et de la lutte contre la pauvreté.

Je veux également développer le vivre ensemble en matière : de sport et de culture, de social et de santé, d’écologie urbaine, d’équipements de proximité, d’événementiels.

J’ai donc décidé de m’engager non par rancune ou par coup de tête, mais parce que je refuse le fatalisme et le cynisme, parce que je dénonce l’illusionnisme et le népotisme, parce que la logorrhée permanente est insupportable, parce que la récurrente auto satisfaction et auto persuasion est insoutenable, parce que je pense que l’homme doit être replacé au cœur de tous les dossiers, parce que je suis fier de Nice qui mérite autre chose que des gesticulations médiatiques sans lendemain et parce que je pense que la majorité municipale est une erreur de casting.

Oui j’ai fait le choix de franchir le Rubicon sans aucun état d’âme.

Dans une période de déni de vérité, j’ai choisi de dire la vérité car se taire serait de la complicité.

Pour toutes ces raisons et après 30 ans de militantisme actif à l’UNI, au RPR et à l’UMP, j’ai décidé de renvoyer ma carte de l’UMP, j’ai crée l’Union Pour Nice, et j’ai rejoint République Solidaire le nouveau mouvement de Dominique de Villepin.

Je me présente comme un candidat de l’alternative de droite républicaine et sociale.

Au-delà de l’Union Pour Nice, je suis soutenu dans cette élection cantonale par l’Entente Républicaine présidée par l’ancien Maire de Nice Jacques Peyrat, mais aussi par André Chauvet et Patrick Villardry, ancien candidats dans le XII ème canton en mai 2009.

Je suis conscient que ce combat sera difficile.

A ceux qui pensent que c’est le combat du pot de terre contre le pot de fer, je réponds que dans la bataille de David contre Goliath, c’est le premier qui a battu le second.

En outre comme disait Corneille dans le cid : « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ».

Hervé de Surville
Président de l’Union Pour Nice

Auteur/autrice

spot_img
- Sponsorisé -Récupération de DonnèeRécupération de DonnèeRécupération de DonnèeRécupération de Donnèe