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29 avril 2024

Babsie Steger dévoile son Mystère à Monte Carlo

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Mystere2.jpg« Erika de Lestrade est la femme de François qui est le fils du général. François est le demi-frère de Laure. Entre frère et sœur, ils se détestent car le père de François a quitté sa mère pour celle de Laure pendant un moment. Erika a un petit enfant de 6 ans et elle lutte pour comprendre et protéger son fils « , explique l’interprète d’Erika, c.

Cette comédienne autrichienne a déjà tourné dans une sitcom qui faisait appel au parnormal. Mais si rappelez-vous « Salut les musclés », elle incarnait une extra terrestre : c’était la célèbre Hilguegue. Aujourd’hui, elle essaie de comprendre l’apparition des Crop Cercles. Que nous cache t’elle ? Et s’il s’agit vraiment de quelqu’un venu d’ailleurs ?

Durant le Festival de Télévision de Monte-Carlo, nous avons tenté de découvrir qui se cache derrière cette élégante, douce et charmante femme qui est Babsie Steger.

Nice-Premium : Comment avez-vous apprivoisé votre rôle dans Mystère ?

Babsie Steger : Je me suis beaucoup documenté sur les « crops cercle », par ce que c’est un phénomène étonnant. On ne sait pas d’où ils viennent. Par les études des scientifiques, on n’a trouvé des atomes dans la terre qui n’existent pas sur Terre.

Ce qui m’a beaucoup plu dans cette saga, c’est le fait de parler d’un phénomène qui existe. Il suffit de faire fonctionner son imaginaire. Si j’avais un fils qui me dirait : « Il ne faut pas être triste quand je serais parti. C’est vrai, ça peut arriver. On ne sait pas du tout si quelqu’un dans le monde qui sait d’où vienne ces signes, peut-être qu’il ne le dit pas.

N-P : Vous y croyez ?

B. S. : Ce n’est pas que j’y crois, ou j’y crois pas. C’est un phénomène que nous n’avons pas élucidé. On a trouvé des atomes qui n’existent pas sur Terre. Je ne vous dis que je crois aux petits hommes verts. Je pense qu’il existe des choses sur Terre qu’on ne peut pas comprendre. Regardez, il y a des gens qui soignent sans toucher. Il y a énormément d’énergie autour de nous. Je regarde ce qu’il se passe mais en tout cas ce n’est pas du tout quelque chose qui m’affole. Certains en ont peur car l’être humain a besoin d’être rationnel pour comprendre ; Mais il y a des choses qu’on ne peut pas comprendre. Si on va un peu plus loin dans l’imagination et l’ouverture d’esprit que c’est quelque chose que nous connaissons. Peut-être d’une autre vie. On dirait que je parle de la réincarnation, mais on ne sait pas si la réincarnation existe, ce n’est pas quelque chose qui me panique.

N-P : Qu’est ce qui vous a plu dans Mystère ?

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B.S. : C’est cette saga de famille qui tourne autour des crops cercle, super intéressante. L’histoire parle d’un phénomène réel. Elle est très bien écrit par les auteurs. Didier Albert est venu sur ce projet un peu en catastrophe parce que ce n’était pas prévu. Il n’a rien préparé, il a tourné la journée et découpé ses scènes pour le lendemain. C’est un type qui a dormi 2 ou 3 heures par nuits pendant 7 mois et en plus de cela, il a fait un travail extraordinaire. Quand on est dans une équipe comme ça, c’est génial ! En plus, moi qui suis un personnage de comédie, j’interprète un rôle dramatique et on m’a dit que c’était bien. Je suis contente.

N-P : On vous a découvert dans le rôle l’extraterrestre entourée de Musclé. Quel souvenir en gardez vous ?

B.S. : Très bon souvenir. J’étais danseuse classique à l’Opéra de Vienne. Ce n’était pas du tout mon métier. Je suis arrivée à Paris. Je suis venue à l’image par la publicité. Un jour, j’ai fait une pub pour le Club Dorothée. On m’a proposé de faire une sitcom.

N-P : Une petit regret d’avoir quitté les chaussons ?

B.S. : J’étais une grande sportive. Je faisais tous les sports. J’étais championne de tennis à 14 ans sans m’entraîner. Je m’entraînais deux fois par semaine et en même temps je faisais de la danse classique, par contre là c’était un entraînement intense, tous les jours à l’Opéra. Je faisais ça par passion. J’ai décidé de continuer la danse. Mais dans la vie, il y a une justice. Dans la danse, on parle comme du vin, quand les filles font les évaluations on parle d’une bonne ou mauvaise cuvée. Une bonne cuvée, ce sont les gens qui vont devenir soliste, et la cuvée moyenne, ce sont els filles qui vont restée dans le corps de ballet. J’étais engagé comme une très bonne cuvée avec une fille, sauf que elle, elle était le chouchou du directeur. Donc elle a eu beaucoup de spectacles que moi et moi je ne comprenais pas trop. Je suis partie à l’école Princesse Grâce à Monte Carlo. C’est comme ça que je suis arrivée en France.

N-P : La danse a été le tremplin de votre carrière de comédienne.

B.S. : Oui, c’est très artistique. A l’Opéra, vous apprenez tout : à danser, à jouer, à chanter C’est complet. C’était un tremplin. D’ailleurs, j’ai eu beaucoup de rôle de sportives.

N-P : Vous aimeriez remonter sur scène ?

B.S. : Oui, j’aimerais faire un one woman show comique. Mais comme je n’écris pas très bien, il faudrait que je trouve quelqu’un avec qui je puisse écrire et qui me donne un coup de main. J’aimerais bien. Mais je suis un peu folle parce que faire un one woman show, c’est un stress terrible. Etre toute seule sur scène … c’est très très difficile.

N-P : Une autre passion que le sport, la comédie… c’est la gastronomie.

Babsie Steger et Bernard Montiel
Babsie Steger et Bernard Montiel
B.S. : Oui, j’adore manger. J’ai un petit restaurant à Paris qui s’appelle « Le petit Vienne ». Mais en fait, c’est l’anatomie qui me passionne. Si je n’avais pas été comédienne, je pense que j’aurais été médecin. J’ai étudié des livres. Je m’y connais très bien. J’ai des amis en biochimiste en alimentation, ces mecs ils vous expliquent ce que c’est le cholestérol et pourquoi vous en avez. Quand vous avez quelque chose, il faut toujours trouver la cause. Aujourd’hui, on ne soigne pas la cause. On vous demande ce que vous avez et on vous donne un truc pour vous soulager, mais ça ne soigne pas. Il faut trouver d’où ça vient. Si vous avez mal à la tête, il y a sûrement une raison. A partir du moment où vous cherchez la cause, on garde son corps sein.

N-P : Alors, le rôle que vous interprétez dans « Le Proc », était vraiment pour vous ?

B.S. : Oui, tout à fait. J’étais dans les labos. Hélas, la série s’est arrêtée.

N-P : D’autres séries en cours ?

B.S. : Pour le moment, j’attends un peu. J’ai encore les énergies de Mystère.

https://www.tvfestival.com/

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