Bref, cela permet aux médias de se revigorer en pleurant sur cette pauvre France multiraciale, multi religieuse, multi territoriale, qui semble avoir abandonné toutes ses fiertés nationales, voire nationalistes.
Le bleu-blanc-rouge de gauche attaque le bleu-blanc-rouge de droite qui essaye de récupérer l’électorat du bleu-blanc-rouge de l’extrême droite. Alors, puisque nous avons la chance d’être né ou de résider dans le dernier territoire rattaché à la France, le Comté de Nice, en 1860 (et même en 1947 pour certains cantons), pourquoi ne pavoiserions-nous pas niçois ?
En effet, cette année 2007 est exceptionnelle, non pas parce qu’elle est celle des élections présidentielles et législatives, mais parce que c’est celle du bicentenaire de la naissance de Garibaldi. Aucun politique n’a été plus niçois et plus universel. Aucun homme ne s’est empressé d’être plus européen. Aucun homme n’a autant défendu l’indépendance des nations.
Libérateur de l’Uruguay, du Rio Grande Do Sul, unificateur de l’Italie, général vainqueur pour la France contre la Prusse, député italien, quatre fois député français, il est le symbole même de la liberté des peuples.
Alors, avant même la commémoration de la Révolution Française, pavoisons niçois le 4 juillet prochain en hommage au plus grand héros que notre ville a connu. Hissons à nos fenêtres l’aigle rouge qui est le symbole du nationalisme de la fierté, de la mémoire et de l’honneur.
LE 4 JUILLET PROCHAIN PAVOISONS NICOIS
Par Christian Gallo
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