Depuis plus d’un mois, les Alpes-Maritimes n’ont enregistré quasiment aucune précipitation et à même enregistré un record d’ensoleillement sur le mois de janvier (213 heures). Conséquences : le risque d’incendie est élevé et la préfecture a dû prendre certaines mesures.
Jusqu’au 20 février prochain inclus, il sera interdit de brûler des végétaux. Le manque de précipitation, l’ensoleillement élevé, le manteau neigeux très faible en montagne et le vent favorisent les incendies.
❗️☀️ 02/02/22 à 15h25 : L’hiver s’en est allé tout simplement ! Notre région est actuellement la plus douce de #France. Les valeurs sont largement au dessus des normales de saison avec une anomalie de +7/8°C par endroits. #CotedAzurFrance
@Données via Météo-France/Infoclimat pic.twitter.com/p5zRMi4E6i
— Météo Côte d'Azur ☀️ (@MeteoCotedAzur) February 2, 2022
La préfecture a donc pris un arrêté : «les brûlages de végétaux sont interdits sur l’ensemble du territoire des Alpes-Maritimes. Les brûlages dirigés réalisés par les seuls services compétents de l’Etat, des collectivités territoriales, des services incendie et secours et de l’ONF restent autorisés au cours de la période rouge mobile hors épisode de pollution de l’air sur la zone considérée» écrit la préfecture.
Cette interdiction est valable jusqu’au 20 février mais pourra être prolongée au-delà.
