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3 mai 2024

6e Festival Cinéalma à Carros

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Un moment de pur bonheur pour les amoureux du cinéma méditerranéen!

Pour la 6e année consécutive, les amoureux du septième art et du cinéma méditerranéen ont rendez-vous à Carros pour le festival Cinéalma.

Du 14 au 23 octobre, de nombreux films seront en effet projetés à la salle Juliette Gréco, dont certains seront suivis de débats et rencontres avec les acteurs et réalisateurs.

Créé en 2006, le festival Cinéalma, l’âme de la Méditerranée n’a pas tardé à devenir l’un des rendez-vous incontournables du cinéma sur la Côte d’Azur. Pendant près de 10 jours, 26 films sont proposés au public pour un tarif tout à fait symbolique (1 € pour toutes les séances à l’exception des séances commerciales à 3 €).

Les cinéphiles peuvent ainsi découvrir des long-métrages issus de différents pays méditerranéens (France, Italie, Espagne, Egypte, Tunisie, Algérie, Maroc, Liban, Iran, Israël…)

Aujourd’hui, Cinéalma est salué et reconnu par les professionnels et constitue l’une des grandes manifestations culturelles de la ville de Carros.

En marge des projections et des rencontres avec les professionnels, le public pourra assister à un concert de Sophia Charaï le jeudi 13 octobre, ainsi qu’à des repas conviviaux les dimanches 16 et 23 octobre.

A noter, parmi les temps forts de cette édition 2011, la cérémonie d’ouverture suivie de la projection de La source des femmes, en présence du réalisateur Radu Mihaileanu, et la cérémonie de clôture avec remise des prix, suivie de Habemus Papam de Nanni Moretti (sélection officielle Cannes 2011).

L’organisation est assurée par la ville de Carros et l’association Cinéactions avec le soutien de nombreux partenaires.


– Le programme du prochain week-end:

Vendredi 14 octobre

-19h30 Ouverture du festival suivi du film.

-20h00: La source des femmes de Radu MIHAILEANU France, Maroc, Belgique, Italie 2011 Fiction 2h16 (EUROPACORP) Avant première
Avec Leïla Bekhti, Hafsia Herzi, BIYOUNA, Sabrina Ouazani, Saleh Bakri, Hiam Abbass, Compétition officielle Cannes 2011

Un petit village entre l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Les femmes, lasses d’aller chercher l’eau à la source, en haut de la montagne, sur les sentiers escarpés et sous un soleil de plomb, se rebellent sous la conduite de Leïla, jeune mariée. Elles font la grève de l’amour tant que les hommes n’apportent pas l’eau au village.

Un conte oriental contemporain inspiré d’une tragédie antique qui résonne fortement avec les printemps arabes.
A noter au générique la présence de deux espoirs féminins et une musique originale de Armand Amar

En présence du réalisateur

Radu MIHAILEANU Exilé de Roumanie en 1980, il fait ses études de cinéma à l’IDHEC (ancien nom de La Fémis) et débute au milieu des années 80 comme assistant réalisateur de Marco Ferreri.
Il a publié un recueil de poèmes en 1987, intitulé « Une vague en mal de mer ».

1993, Trahir, son premier long métrage (plusieurs prix dans des festivals : Montréal, Istanbul…)
1998 Train de vie deuxième long métrage, succès international, grâce à deux prix gagnés durant le Festival de Venise .
2005 Va, vis et deviens, César du meilleur scénario original.
2009 Le Concert près de 1,9 millions de spectateurs en salle.

22h45 Buffet offert par la ville de Carros

Samedi 15 octobre

-10h00 Pa Negre (Pain Noir) de Agustí VILLARONGA Espagne-France 2011
Fiction 1h 40 (ALFAMA)

Avec Sergi López, Francesc Colomer, Nora Navas, Eduard Fernàndez, Marina Comas,

En Catalogne, les années qui suivent la guerre civile en Espagne, marquées par la violence, et vues à travers les yeux d’un petit garçon de 10 ans dont le père est injustement accusé de meurtre…

Ce film est l’adaptation du roman éponyme de l’écrivain catalan Emili Teixidor, best-seller considéré comme son chef d’œuvre et le meilleur livre catalan de la décennie.

Agustí Villaronga est un réalisateur espagnol né en 1953 à Majorque (Îles Baléares, Espagne). Son film, L’Enfant de la Lune, fut présenté à Cannes en 1989.

Pa Negre a eu un succès retentissant en Espagne avec 9 Goya (Madrid), 13 Gaudí (Barcelone) et un prix au dernier festival de San Sébastian.

Agustí Villaronga incarne la nouvelle génération du cinéma espagnol. Il est reconnu pour la beauté de ses plans et la puissance de sa dramaturgie. Il est l’auteur notamment de Tras el Cristal, ElMar et El Niño de la Luna.

-14h00: Plus Jamais Peur (La khaoufa baada al’youm) de Mourad BEN CHEIKH Tunisie 2011 Documentaire 1h12 (KMBO) Sélection officielle séance spéciale Cannes 2011

Le 17 décembre 2010, un jeune vendeur ambulant de fruits et légumes s’immole à Sidi Bouzid, après s’être fait confisquer sa marchandise par les autorités. S’en suit un mouvement de contestation générale contre le régime du Président Ben Ali. La Révolution tunisienne débute et «plus jamais on aura peur pour cette nouvelle Tunisie.»

En présence du réalisateur

Mourad Ben Cheikh a étudié les Beaux Arts à Tunis et Bologne.

Il réalise des spots publicitaires, des courts métrages et des films pour le jeune public (il avait présenté Mare Nostrum à Cinéalma en 2008).
Avec Plus jamais peur il contribue à apporter les premiers témoignages de la révolution tunisienne.

-16h15 : Voyage à Alger de Abdelkrim BAHLOUL. Fiction Algérie 2009.
Fiction 1h37 (LES FILMS DE LA SOURCE) Inédit
Avec Samia Meziane Sami Ahedda, Ghazeli Khedda, Benyamina Bahloul

Basé sur une histoire vraie, le récit se passe quelques mois après l’indépendance de l’Algérie. Une veuve de chahid voit sa maison expropriée par les autorités locales de la ville de Saïda (Haut plateaux du Sud Ouest). Mais sa détermination la conduit à aller plaider sa cause auprès du Président de la République en personne.

Un beau portrait de femme servi par la prestation remarquée de l’actrice Samia Meziane.

En présence du réalisateur et de l’acteur Sami Ahedda

Réalisateur, scénariste, acteur,
Il suit des études au Conservatoire national d’art dramatique d’Alger (1968-1971). Abdelkrim Bahloul quitte l’Algérie en 1971 et s’installe en France oùil poursuit des études au Conservatoire national d’art dramatique de Paris. En 1973, il obtient une maîtrise en Lettres Modernes à l’Université de Paris 3. Il suit des études de cinéma à l’IDHEC (1972-1975).
Opérateur de prises de vues à la TV française puis assistant réalisateur, il se fait connaître avec Le Thé à la menthe (1984) Un vampire au paradis (1991), Le Soleil assassiné (2004).

Le voyage à Alger a obtenu le Tanit d’argent aux Journées cinématographiques de Carthage et de nombreux autres prix aux festivals de Ouagadougou, Montréal, Namur, Angoulême…

Houari Boumedienne colonel et un Homme d’État algérien.
Militaire de carrière, chef de l’État-Major Général de l’Armée de libération nationale de 1959 à 1962, il occupe de hautes fonctions d’État, tel que, ministre de la défense, sous Ben Bella I, en septembre 1962, poste qu’il cumule avec celle de vice-premier ministre durant la présidence d’Ahmed Ben Bella de septembre 1963 à juin 1965.
Suite à un coup d’État militaire, il devient le deuxième président de la République algérienne démocratique et populaire du 19 juin 1965 au 27 décembre 1978 tout en gardant son portefeuille de ministre de la défense, c’est ainsi que, Boumedienne cumule cette fonction avec celle de premier ministre du 20 juin 1965 à sa mort, instaurant un conseil de la révolution du 20 juin 1965 au 10 juillet 1965. Delà, il a été président du Front de libération nationale, durant son mandat à la présidence de la république. Il fut secrétaire général du mouvement des non-alignés de septembre 1973 à aout 1976.

-19h00: La cinquième corde de Selma BARGACH. Maroc 2010.
Fiction 1h38 (JANAPROD). Inédit avec Hichem Rostom, Ali Esmili, Claire Hélène Cahen

L’histoire relate le parcours de Malek, jeune luthiste passionné, en quête du secret de la 5ème corde qui le mènera de Casablanca à Essaouira en passant par Tanger. Entre la rigueur de son oncle Amir, maître de musique et le talent tonique de sa dulcinée Laura il poursuivra son rêve et trouvera sa voie.

En présence de la réalisatrice

Née le 13 Mai 1966 à Casablanca au Maroc. Après un baccalauréat littéraire à Casablanca, elle s’inscrit en 1986 à L’Unité Pédagogique d’Architecture de Lyon, puis à la Sorbonne, à Paris, où elle obtient en 1997 un doctorat en art et en sciences de l’art, option audiovisuelle.

Selma Bargach débute comme assistante réalisatrice auprès de cinéastes marocains et étrangers. Plus tard, elle réalise des courts métrages de fiction. La Cinquième corde est son premier long métrage.

A la fois conte initiatique du passage à l’âge adulte et conte contemporain musical, le film fait de la musique un personnage à part entière. Elle se développe et subit les mêmes épreuves que le protagoniste. Elle est son ombre et devient sa lumière pour terminer en notes d’espoir.

Ce film commence à peine sa tournée et récolte des prix : Festivals de Tanger, Kicheon (Corée du Sud), Khourigba.
On notera la bande son des musiciens Safy Boutella et Trio Joubran et la collaboration de Hassan Benjelloun (Les Oubliés de l’histoire Cinéalma 2010)

-21h45: Corpo Celeste de Alice ROHRWACHER. Italie, France, Suisse, 2O11
Fiction 1h51 (AD VITAM) Avant-première avec Yile Vianello, Anita Caprioli, Salvatore Cantalupo Quinzaine des réalisateurs Cannes 2011

Après 10 ans passés en Suisse, Marta, 13 ans, revient vivre en Calabre avec sa mère et sa sœur, et prépare sa confirmation. Confrontée à la morale et aux arrangements de la communauté catholique locale elle apprendra à construire sa propre vie.

En présence de la réalisatrice (sous réserve)

Née en Toscane, Alice Rohrwacher est diplômée de littérature et de philosophie de l’Université de Turin. Après une expérience dans le théâtre et la musique, elle débute au cinéma comme monteuse, puis elle réalise une partie du long-métrage collectif Checosamanca.
À 27 ans, Corpo Celeste est son premier long-métrage.

Alice Rohrwacher n’est ni calabraise (elle vient d’Ombrie, a étudié à Turin), ni catholique, et c’est pourtant de cela qu’elle parle dans son premier long métrage de fiction, Corpo celeste.

« Je fais des films pour la recherche. Tout ce qui est loin de moi m’intéresse a priori. Pour ce film, comme pour mes documentaires précédents, j’ai d’abord trouvé un lieu, puis je me suis demandé ‘qu’est-ce qui fait que les gens habitent là ?’, et je me suis lancée. »

Les personnages et l’histoire sont venus après : ce sera une gamine de 13 ans, étrangère au lieu et à ses coutumes (« une extraterrestre, un corps céleste »), qui prépare sa communion et semble tout découvrir – son corps, la liturgie, les contraintes, les paysages – avec un regard vierge.
Agée de 29 ans, gracile et les yeux pétillants, cette jeune réalisatrice incarne, avec quelques collègues (Marcello Pietro, Michelangelo Frammartino, Matteo Garrone…), le renouveau du cinéma italien. Une génération qui s’est formée par le documentaire et gravite dans l’underground, loin des schèmes télévisuel qui encombrent la péninsule depuis 30 ans .« Je sens qu’il se passe quelque chose. Le documentaire est une bonne école, car il t’oblige à tout faire, à te débrouiller avec peu. Les gens de mon âge ne veulent plus attendre des subventions qui ne viennent pas. Ils veulent tourner, un point c’est tout. »

Dimanche 16 octobre

-10h00 :18 jours Collectif Egypte 2011 10 Courts-métrages 2h. (EUROZOOM) Inédit Cannes 2011 sélection officielle hors compétition

Ce film raconte 10 histoires réelles ou imaginées qui ont eu lieu en Egypte entre le 25 janvier et le 11 février 2011, celle de citoyens ordinaires pris dans des événements extraordinaires qui paraissaient inimaginables et changeront leurs vies pour toujours.

10 chapitres, réalisés dans l’urgence et l’enthousiasme, sans budget, et de manière bénévole, par une équipe de cinéastes, acteurs, techniciens, producteurs pour témoigner des 18 jours qui ébranlèrent leur pays. Parmi ces cinéastes on reconnaîtra : Yousry Nasrallah (Femmes du Caire) Marwen Hamed (l’immeuble Yacoubian) et Ahmad Abdalla (Microphone).

Les recettes de la diffusion de 18 jours sont consacrées à une campagne d’éducation politique et civique dans les villages égyptiens.

-12h00 repas convivial organisé par Cinéactions (Paëlla – 7€)

  • 14h00 Flamenco Flamenco de Carlos SAURA Espagne-France 2011
    Film musical 1h30 (BODEGA) Avant-première

Il y a quatorze ans se tournait Flamenco, un film dont la narration tournait autour des chants, des danses et de la musique de cet art magnifique. Avec l’expérience et la sagesse acquises au fil des années et ayant pu réunir une partie de l’équipe qui avait participé à ce premier film, Carlos Saura nous entraîne dans un tourbillon endiablé autour des talents actuels de cet art d’une incomparable beauté.

Après Fado et Tango, Carlos Saura enrichit sa série de films musicaux, à déguster sans modération.

« Pour ce film, nous ne nous sommes pas appuyés sur une histoire de fiction. Introduire devant la caméra quelque chose de plus que la beauté de la musique et des danses de flamenco m’aurait paru une trahison à la pureté de cet art ! » (Carlos Saura)

En présence du réalisateur

Réalisateur et scénariste, Chorégraphe, Photographe, Carlos Saura, né en1932, est l’un des cinéastes espagnols les plus influents et reconnus sur le plan international. Ours d’argent au Festival de Berlin en 1965 pour La Caza (La Chasse), Prix Spécial du Jury à Cannes en 1975 avec Cría cuervos, lequel, après La Prima Angélica (La Cousine Angélique, 1973) dénonce avec subtilité la société franquiste.

Ay, Carmela en 1990 obtient le Goya du meilleur réalisateur.

Dans la continuité d’autres films musicaux :
1995 : Flamenco
1998 : Tango
2008 : Fados
2010 : Don Giovanni, naissance d’un opéra
2001 : Buñuel et la Table du Roi Salomon

Originaire d’une famille d’artistes (sa mère était pianiste, son frère Antonio Saura était peintre), il développe pendant son enfance le sens artistique appliqué à la photographie.
À Madrid, en 1957, il obtient le diplôme de réalisateur de l’Institut de Recherches et d’Études cinématographiques, dont il devient professeur jusqu’en 1963.

En 1957-58 a lieu le tournage de son premier film documentaire, Cuenca. En 1960, avec Golfos (Les Voyous), il décrit le problème de la délinquance des jeunes dans les quartiers démunis de Madrid. En 1963, avec le film Llanto por un bandido, il réalise une reconstitution historique.

En 1965 son style, à la fois lyrique et documentaire, centré sur les problèmes des plus démunis, reçoit la reconnaissance de la communauté internationale au Festival de Berlin, où il reçoit l’Ours d’argent pour son film La Caza (La Chasse).

En 1967, son film Peppermint frappé est à nouveau premier à Berlin.
Les films La Prima Angélica (La Cousine Angélique, 1973) et Cría cuervos (1975), qui traitent avec subtilité de la société franquiste, reçoivent le Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes.
Son film Mama cumple 100 años (Maman fête ses cent ans) est nommé à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1979.

En 1991, il est enfin reconnu dans son pays et reçoit les Prix Goya du meilleur réalisateur et du meilleur script pour son film ¡Ay, Carmela! (1990).
Il est choisi comme réalisateur pour mettre en scène le film officiel des Jeux olympiques de Barcelone en 1992, Marathon.

Aujourd’hui, Carlos Saura est considéré comme l’un des classiques de l’histoire du cinéma contemporain européen. Il a su retracer l’évolution de la société lors de la transition démocratique espagnole et son opposition à la dictature franquiste.

-16h45 : Beyrouth Hôtel de Danielle Arbid France, Liban 2011
Fiction 1h38 (LES FILMS PELLEAS) Avant première avec Darine Hamze, Charles Berling, Fadi Abi Samra, Rodney El Haddad. Sélection officielle festival de Locarno 2011

Histoire d’amour passionnelle entre Zoha, jeune chanteuse libanaise qui tente de s’affranchir de la mainmise de son ex mari, et Mathieu, un avocat français en voyage d’affaires à Beyrouth, soupçonné d’espionnage et traqué dans un Beyrouth fascinant.

En présence de la réalisatrice.

Danielle Arbid Née à Beyrouth le 26 avril 1970, Danielle Arbid quitte le Liban à l’âge de 17 ans, elle s’installe s’installe à Paris étudie la littérature et le journalisme. Ses films, courts, documentaires, fictions sont bien accueillis dans les festivals en France et dans le monde. Ses deux long-métrages Dans les champs de bataille et Un homme perdu sont sélectionnés à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2004 et 2007.

Beyrouth Hôtel est son troisième long-métrage de fiction. Réalisé pour Arte, il a été sélectionné en compétition officielle au festival de Locarno en 2011.

Ce film musical et d’espionnage sert une romance sur le fil, à l’image d’un pays vacillant entre guerre et paix, où d’un instant à l’autre, tout peut chavirer… Darine Hamzeh et Charles Berling sont superbes.

-19h15: Il Gioiellino de Andrea MOLAIOLI Italie-France 2011
Fiction 1h50 (BELLISSIMA) Avant-première avec Toni Servillo, Remo Girone, Sarah Felberbaum

En plein dans l’actualité ce film relate l’emblématique scandale de Parmalat (2004) qui a placé derrière les barreaux, pour liquidation frauduleuse, les dirigeants de la société agro-alimentaire et plongé dans le désarroi les actionnaires et investisseurs.

Ce qui était considéré comme le plus gros scandale financier en Europe, après 1945, a fait, depuis, des petits, bien plus gros que lui.

Le titre du film vient d’un mot qu’aurait eu un des vrais protagonistes du crack Parmalat « Mis à part ce trou de 14 milliards, l’entreprise est un petit bijou »

André Molaioli, est né à Rome en 1967, il fait partie de la nouvelle génération de cinéastes italiens a été notamment l’assistant de Nanni Moretti (Palombella Rossa, Journal intime, La chambre du fils).

Son premier long métrage « la ragazza del lago » a été présenté à la semaine internationale de la critique et à la mostra de Venise en 2008, il a obtenu, le David du Donatello du meilleur réalisateur.

En présence de l’acteur Remo Girone

Remo Girone fils d’immigré italien il est né Asmara (Erithrée) , 1 dicembre 1948 è un attore teatrale e attore cinematografico italiano.
A 13 ans il part à Rome où il effectue des études all’Accademia Nazionale d’Arte Drammatica Silvio D’Amico

Il fait du théatre et des séries télévisées C’est Marco Bellochio qui lui a donné son premier grand rôle dans Il Gabbiano (La mouette) en 1977. Il. a été présent dans des téléfilms avec Enrico D’Amato per Romeo e Giulietta di William Shakespeare. Nel 1987 prende parte allo sceneggiato RAI La Piovra dando vita ad uno dei personaggi più cattivi e nel contempo interessanti del piccolo schermo: Tano Cariddi.
Après le succès de la Piovra on le retrouve dans Diceria dell’untore (1990) di Beppe Cino.

-21h30 : La Mosquitera de Agustí VILA Espagne 2011
Fiction 1h35 (BODEGA) Avant-première avec Emma Suárez, Géraldine Chaplin, Eduard Fernàndez

Peinture d’une famille citadine, aisée, dont les membres sont victimes d’un obscur sentiment de culpabilité : la mère envers son fils, le père envers la femme de ménage, et le fils envers toute forme de vie animale.Une intrusion dans l’intimité d’une famille obsédée par l’idée d’une vie parfaite mais confrontée à ses propres travers.

En présence du réalisateur

Agustí Vila est né en 1961 à Barcelone, diplômé de philologie à l’Université de Barcelone, il devient réalisateur pour la télévision catalane (TV3). Il a réalisé le Abreme La Puerta!, et écrit la pièce de théâtre La Ventana Cerrada.

Caustique, grinçant à l’humour débridé, La Mosquitera est le second long métrage de ce cinéaste catalan qui a débuté par des courts et des documentaires. Film récompensé notamment par l’Antigone d’Or du CinéMed de Montpellier, le Grand prix du Festival de Karlovy Vary, aux Premiers plans d’Angers…

Quelle est la trame de « La Mosquitera »

Il s’agit d’une famille qui est incapable d’accepter la vie telle qu’elle se déroule. Ses membres sont obsédés à l’idée d’être politiquement corrects. Ils pensent que le bien et le mal sont séparés par un mur alors que la vie est faite de situations incontrôlables et de nuances. Comme ils ont des difficultés à rester en phase avec la réalité, c’est comme s’ils se protégeaient derrière cette « moustiquaire ».

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