Carton rouge UMP pour Jacques Peyrat : « Conformément à l’article 34 de ses statuts, l’Union pour un Mouvement Populaire a procédé ce jour à la suspension de Jacques PEYRAT, candidat dissident aux élections municipales de NICE.
En conséquence, il ne peut se prévaloir du soutien de l’UMP, ni procéder à l’utilisation du sigle « UMP » à l’occasion de la campagne pour les élections municipales et cantonales des 9 et 16 mars prochains. »
C’est par ce laconique communiqué de presse que la sanction est tombée sur le Maire de Nice, Jacques Peyrat, qui se retrouve donc suspendu par son parti pour cause de dissidence rejoignant ainsi son adversaire de conseil Patrick Mottard, candidat dissident du PS. Dans le match de la dissidence, droite et gauche se retrouve donc dos à dos avec un candidat dans chaque camp.
Patrick Mottard inaugure deux permanences : A Nice autrement, on fait réellement autrement puisque à l’instar des autres candidats, Patrick Mottard et son équipe vont inaugurer deux permanences pour couvrir Nice en deux partie du Sud au Nord. Ce sera donc au 10 avenue Cyrille Besset et au 64 boulevard Risso, au dessus de la galerie du co-listier Christian Depardieu, qu’il faudra se rendre pour en savoir plus sur Nice Autrement.
Tous sauf eux : Une mosquée à Nice semble évidente pour l’ensemble des candidats à la prochaine municipale niçoise, tous sauf un. Philippe Vardon et le mouvement identitaire niçois « Nissa Rebela » en a fait même son cheval de bataille électorale. Ne pourrait-on pas être aussi bien Socca que Kebab à Nice ?
Jacques Peyrat dans le premier : Ira, ira pas ? Le suspens reste entier en ce qui concerne la candidature de Jacques Peyrat dans le premier canton de Nice détenu par le socialiste Marc Concas mais surtout brigué par l’ennemi intime de Jacques Peyrat, Eric Ciotti. Aucune information n’a filtré de l’hôtel de ville et la suspension du Maire risque fort de ne pas donner une réponse imminente certainement très attendue par les autres candidats.
Certains auraient dit non : Le Besson niçois tarde à se faire connaître et ce n’est pas faute d’essayer du côté des listes adversaires de la gauche niçoise. Ce n’est pas l’envie qui manque de vous dévoiler les noms et prénoms de ces deux politiques locaux mais leur ayant assuré un parfait anonymat, nous ne pourrons que relater leur refus de participer « en bonne place » dans une liste adversaire à la leur. Réponse négative pour les deux intéressés qui sont tout de même honorés de cette proposition.
Sian d’Aqui pose ses questions : Bien qu’apolitique, l’association Sian d’Aqui et son dynamique Président, Fabrice Mauro, ont conçu un questionnaire destiné à tous les candidats à la municipale afin de connaître leurs positions sur les grand thèmes de la vie niçoise. Les réponses seront diffusées sur le site de Sian d’Aqui et sur Nice Premium. Chaque candidat a répondu favorablement à cette initiative sauf Alain Roullier qui semble se faire tirer l’oreille pour donner ses réponses. A moins qu’il ne soit plus réellement candidat ?
Le temps des galettes : Si on n’a pas encore « tiré » le nom du Maire, on pourra toujours tirer les rois en compagnie d’un des prétendants au nouveau titre car dans les prochains jours les candidats à la municipale niçoise risquent l’indigestion de galettes des rois d’associations à celles des comités de quartier en passant par les clubs sportifs. Sans oublier, la traditionnelle galette des rois des candidats qui vaudront le détour tant la pression dans chaque camp commence à monter, monter, monter…. Mais qui donc aura la fève cette année ?
