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27 avril 2024

L’Espace Magnan relance les Ciné-mardis

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Le 1er semestre de l’année 2020 aura été synonyme de contraintes en toutes circonstances : sanitaires, sociales, économiques, relationnelles, professionnelles, évènementielles… Pour faire oublier cette période plus que déroutante, l’Espace Magnan propose à son public une saison cinématographique 2020/2021 dédiée intégralement à la Liberté.


Crise sanitaire, port du masque, nouveaux cas positifs, voici les seuls mots entendus au quotidien par le public. Il y a vraiment de quoi saturer avec ce que diffuse la télévision et les réseaux sociaux. À force, les liens sociaux sont menacés. Pour le centre culturel Espace Magnan, cela va à l’encontre de ses objectifs. Alors, place au cinéma.

Un cinéma hebdomadaire qui incite la réflexion

[ 🎥 Les Films à l'affiche des CINÉ-MARDIS ! ]
Du 29 septembre au 15 Décembre 2020 | 20h
🎫Tarif à la séance : 5€ – Carte…

Publiée par Espace Magnan sur Samedi 19 septembre 2020

Pour recréer des liens sociaux, l’Espace Magnan, sous la direction d’Alexandre Vandekerkhove (33 ans), organise depuis mardi dernier des rendez-vous consacrés au cinéma. Un projet mis en place dans le respect des mesures sanitaires (100 personnes maximum). Pour cette saison 2020-2021, c’est le thème de la LIBERTE qui a été retenu.

Au fil de ses ciné-mardis, les organisateurs amèneront le public présent à réfléchir sur plusieurs formes de liberté (vote, presse, sexuelle, avortement, d’expression…)

Un premier film reflétant un début de saison prometteur

Au programme, 11 films dont 10 classés art et essai. Mardi dernier, à l’occasion de son premier Ciné-mardi, Alexandre Vandekerkhove et sa collègue Marie-France ont décidé la diffusion du long métrage franco-afghan, Kabullywood , réalisé en 2016 par Louis Meunier.

Dans ce film, l’historie est concentrée sur quatre étudiants. Résidents à Kaboul, en Afghanistan, et assoiffés de vie, ils décident ensemble de réaliser un projet très osé : rénover un cinéma abandonné qui a survécu à 30 ans de guerre. Une décision fortement contestée par le général de l’armée afghane qui s’avère être le père d’un des étudiants.

Une très bonne façon d’amener la réflexion sur les différentes formes de liberté. « Nous avons pensé à ce projet l’année dernière. L’objectif est de créer une rencontre hebdomadaire afin de pouvoir fidéliser un public pour le cinéma. Ce soir, vous avez assisté à la première séance officielle depuis ces 6 mois de confinement. » analysera le directeur du centre.

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