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7 mai 2024

Acropolis de Nice a ouvert ses portes aux étudiants

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studyrama-nice.jpg « L’avenir est quelque chose qui se surmonte. On ne subit pas l’avenir, on le fait ». Ces quelques mots de Georges Bernanos résument admirablement bien la philosophie de ce salon qu’est Studyrama. Un évènement important qu’il ne faut absolument pas rater. Entre formations, projets et embauches, il est important de savoir où l’on met les pieds avant de s’engager. Finalement, les études, le travail c’est un peu comme une femme avant le mariage, il faut apprendre à la connaître. Et bien ce salon, c’est une sorte de speed-dating de l’avenir.

Armés de doutes, d’appréhension et de nombreuses questions, les jeunes lycéens se lancent à la rencontre des professionnels. Avec un panel de 400 formations installées sur le site, la diversité est à la hauteur de la demande. Entre études courtes ou longues, BTS ou université, secteur privé ou public, il y en a pour tous les goûts : de l’armée au commerce, en passant par la médecine, sans oublier les arts et les grandes écoles. On peut même se renseigner pour faire ses études à l’étranger, au Canada ou aux USA par exemple.

Bref, la liste exhaustive des différentes filières présentes ne serait pas des utiles et prendrait des heures. Ce qui importe c’est de savoir si nos « têtes blondes » ont trouvé chaussures à leurs pieds.

Thomas est un jeune lycéen de 17 ans, il est venu depuis la commune de Valdeblore avec son lycée pour assister à ce salon. Son point de vue est catégorique : «c’est une bonne expérience pour ceux qui ne savent pas quoi faire après le BAC. Moi je veux travailler dans le BTP et ce salon n’a fait que confirmer mon choix ». En plus d’avoir trouvé des réponses à ses questions, Thomas peut même envisager de se rendre à l’une des journées portes-ouvertes de la filière qu’il a choisie.
Voila le but de ce salon, permettre à deux mondes de se rencontrer avant de s’engager.

C’est ce qui a poussé Elodie et Laura, deux lycéennes de Valbonne à venir se renseigner. Avec deux orientations différentes, les jeunes filles ont ainsi vu leurs questions trouver des réponses. Elodie a bien rentabilisé son temps puisqu’elle a «comparé, échangé, discuté avec les différentes écoles qui lui correspondait ». Laura, elle, est un peu déçue, elle n’a trouvé « aucun interlocuteur. Il y avait trop de monde donc j’ai pris les papiers et je suis partie mais je reviendrais sûrement demain avec mes parents ».

Une étape extrêmement importante donc dans la vie de ces jeunes lycéens, il est bon de pouvoir les aider, les diriger, les aiguiller vers leur avenir. Un beau projet qui demande du temps et de la réflexion et parfois un peu d’aide, alors merci au Studyrama au nom de tout les futurs des étudiants

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