
L’OGC Nice, après réception du procès-verbal ce mardi, a fait appel de la décision de la Ligue Professionnelle de Football. Celle-ci prévoie un nouveau huis-clos partiel et un huis clos total avec sursis. La Fédération Française de Football examinera le dossier ce jeudi et rendra un verdict dans la foulée.

Le président Jean-Pierre Rivère est de plus en plus malmené, notamment samedi dernier au combat de Jérôme Ardissone ou encore sur les forums qui demandent sa démission. Cet appel intervient aussi pour calmer les esprits. En effet, une partie des supporters niçois lui reproche d’avoir porté plainte contre les personnes ayant envahi le terrain lors de Nice-Bastia. Une décision somme toute logique après ce genre d’incidents mais qui reste en travers de la gorge de la Brigade Sud. Une violence dans les propos sur la page Facebook ou encore le compte Twitter du club qui ne colle pas aux nombreuses décisions prises par Jean-Pierre Rivère depuis des mois, en faveur du club : nouvelles infrastructures, organisation d’un Forum de l’Emploi, ouverture de la boutique Masséna, rencontres multipliées joueurs-supporters…
« Silenzio stampa », silence radio, à l’OGC Nice qui attend la décision ferme et définitive pour communiquer. Le but est de diminuer cette sanction et satisfaire toutes les composantes du club, joueurs, supporters et dirigeants. Ce samedi, l’OGC Nice, actuellement 12e, reçoit le Stade de Reims, 10e. Avec ou sans la Brigade Sud, l’objectif sera de renouer avec la victoire pour ne pas voir la zone rouge se rapprocher.
Crédit photo et plus d’informations sur www.ogcnice.com
