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19 avril 2024

Arrivée du premier test pour le projet “Cap ô pas Cap” à Monaco

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Les quatre rameuses du projet sont arrivées sur leur planche, samedi en fin de matinée, au port de Monaco, après être parties de Lucciana, mardi matin.


cap_o_pas_cap.jpg Alexandra Lux, Justine Dupont, Stéphanie Geyer-Barneix et Itziar Abascal sont les quatre rameuses du projet “Cap ô pas Cap”. Cela consiste à relier le Cap Horn à l’Antarctique sur une planche de paddle en janvier prochain. Alexandra Lux et Stéphanie Geyer-Barneix sont déjà connues pour avoir traverser l’Océan Atlantique en 2009 sur une planche du même type.

Après plusieurs jours de traversée, les quatre filles sont arrivées au port de Monaco suivies du voilier qui les a accompagné pendant le trajet (5 membres d’équipage), et accueillies par une soixantaine d’enfants impressionnés par la performance. Elles en ont profité pour sensibiliser les jeunes présents sur l’eau, et son importance.

Malgré les capacités physiques et l’expérience des rameuses, le voyage n’aura pas été de tout repos. Toutes s’accordent sur le fait que le deuxième jour a été très difficile, en raison du vent fort et des vagues. Les nuits ont aussi été compliquées, bien que la planche et les sacs étaient équipés de lampes. Les filles se sont relayées d’abord toutes les heures le premier jour, avant de passer à des relais d’une heure et quart, et donc de gagner 45 minutes de repos en plus.

Mais ces difficultés n’ont pas diminuer la motivation des 4 sportives. “On est plus motivées que jamais”, a déclaré Stéphanie Geyer-Barneix. Pour Alexandra Lux, cette traversée “rappelle des souvenirs de 2009 et est de bonne augure pour le Cap Horn”.

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