

Pour Jean-François Knecht, par contre, c’est une grande satisfaction et le conseiller municipal socialiste ne cache pas une certaine joie devant cette ouverture d’enquête : « Oui je suis très heureux de ce dénouement car j’ai fait face à pas mal de pressions et certains de mes « camarades politiques » ont eu un comportement navrant à mon égard. C’est aussi la preuve que mon travail n’était pas basé sur du vent. »
Jacques Peyrat a annoncé que, d’après lui, la campagne électorale avait bien commencé au regard de cette décision et qu’il ne baissait pas les bras mais bien au contraire qu’il allait combattre ces « mauvaises manières » qui lui donnent force pour aller de nouveau à la bataille. Serait-ce une entrée en lice dans la bal des municipales pour l’actuel Maire de Nice ?
Pour l’heure, place donc aux investigations et aux auditions qui devront confirmer ou infirmer les soupçons de favoritisme dans ce dossier qui vient alourdir un peu plus la longue liste des affaires niçoises.
