

La commission d’évaluation du CNOSF vient de remettre son rapport sur les dossiers de candidature à l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2018.
Il apparaît qu’avec Annecy et Grenoble, Nice fait partie des villes répondant aux minimas des exigences requises par le Comité International Olympique. Et Christian Estrosi s’en réjouit.
Cependant, il apparaît clairement, dans le rapport des experts, la création et l’utilisation d’un facteur de risque non communiqué initialement et qui relève de la subjectivité. Son emploi entraîne une note défavorable puisque mathématiquement, il fait perdre à Nice entre 10 et 50 % d’une note d’évaluation.
A titre d’exemple, la note d’infrastructure générale : 8/10 est, du fait de l’application du coefficient 0,5, ramenée à 5,29.
Ce facteur de risque n’a pas le même poids pour toutes les villes candidates, sa portée est beaucoup moins importante pour les villes des Alpes du Nord.
Il va de soi que Nice reste complètement engagée dans cette compétition avec la même détermination et le même enthousiasme.

Le destin de ses villes laisse présager pour Nice des espoirs aujourd’hui, de grandes ambitions pour demain.
« Alors comment imaginer que nous ne nous battrons pas jusqu’au bout, ce soir, vendredi 13 mars, tous les élus du département seront réunis pour la dernière ligne droite et demain samedi 14 mars, aux côtés de Marielle Goitshel, pour l’organisation d’une chaine humaine sur toute la Promenade des Anglais, des milliers d’azuréens seront réunis sous les couleurs de NICE 2018.«
