

Le MRC et ses quatre parlementaires appartiennent à la majorité sans participer au gouvernement. Comme le dit leur fondateur Jean-Pierre Chevènement, c’est un soutien « les yeux ouverts » que le MRC apporte à la politique de Francois Hollande.
Pour Ladislas Polski: « Le mouvement soutient le pacte de croissance et de compétitivité porté par Louis Gallois qui fut un proche de Jean-Pierre Chevènement: pour garantir la pérennité du financement de l’éducation, de la santé, de la sécurité, de tous les piliers sur lesquels repose le pacte républicain, la nation doit retrouver le chemin de la création de richesses, de la croissance et de l’emploi, donc de la compétitivité internationale.
Mais cet enjeu du redressement économique et de la reindustrialisation est indissociable d’une réorientation profonde de l’Union européenne, en particulier de la politique monétaire, dans un dialogue contradictoire avec notamment nos voisins allemands: c’est sur cette conviction construite depuis de nombreuses années que nos parlementaires ont fondé leur vote de refus du traité budgétaire européen à l’automne dernier, sans cependant décourager de la capacité de Francois Hollande à porter plus loin encore son ambition de redressement de notre pays ».
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