
Ce sera le cas dans certaines communes ou cantons des Alpes-Maritimes mais plus particulièrement dans les cantons niçois où se joueront les postes de conseillers généraux, véritable indicateur des prochaines élections municipales niçoises qui se profileront à l’horizon 2014.

Le calme avant la tempête
Sans doute, fêtes de fin d’année aidant, les candidats ne sont pas encore vraiment sortis du bois et la communication est pour le moment au point mort pour chacun des trois favoris. Il en est de même sur les médias où chacun apparaît de façon plus ou moins régulière mais sans vraiment encore faire allusion, ou vraiment entre les lignes, au prochain scrutin et à la campagne qui va le précéder.
Certes, la présence des trois élus est devenue beaucoup plus régulière dans les quartiers composant le canton et cela ne va aller qu’en s’accélérant pendant les prochaines semaines des Moulins à Saint-Augustin en passant par l’Arenas ou encore Sainte-Marguerite. Le grand jeu du « il ne faut pas se croiser » va pouvoir débuter dans les marchés et rassemblements publics.
On se fait une toile ?
Si Paul Cuturello possède un petit avantage côté web avec son site officiel qu’il alimente régulièrement depuis des années, ni Dominique Estrosi-Sassone, ni Jacques Peyrat n’ont encore dévoilé leur plateforme de communication internet. Côté Facebook, Dominique Estrosi-Sassone et Paul Cuturello sont bien présent depuis les premiers temps du réseau social avec respectivement 611 amis pour l’adjointe au Maire et 330 amis pour le conseiller municipal d’opposition, Jacques Peyrat étant encore le mauvais élèves du web avec seulement 24 amis. Si la présence de l’ancien Maire de Nice n’a jamais été très brillante sur le web, l’absence de Mme Estrosi-Sassone est elle plus étonnante et nous ne devrions pas attendre très longtemps pour voir naître sa plateforme de communication internet comme support de campagne.
En effet, difficile aujourd’hui d’imaginer passer à côté des milliers d’électeurs qui sont reliés à Internet par leur ordinateurs, téléphones ou autres tablettes tactiles. Et comment ne pas mettre à profit ces outils que sont Facebook et, dans un moindre terme, Twitter, pour toucher rapidement ses amis ou ses contacts en un simple clic.

