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4 mai 2024

Voeux 2013 à l’OGC Nice : L’Europe en ligne de mire !

C’est dans une atmosphère détendue que Jean-Pierre Rivière et Claude Puel°, les deux « patrons » du Gym, ont présenté à la presse et reçus à leur tout les voeux une année 2013 que chacun espère aussi bonne que la précédente.


ogcnice_np-23.jpg Les motifs de cette satisfaction partagée sont faciles à trouver.

Pour le président niçois, il s’agit de la première saison d’une véritable gestion personnelle, le choix d’un manager sportif de son gré avec qui il forme un duo très soudé, un classement à la trêve plus que satisfaisant avec l’objectif à minima du maintien pratiquement acquis, la perspective d’un fin de saison largement meilleure à celles des saisons passées (souvent terminées avec des palpitations cardiaques) et l’espoir non dissimulé d’une possible qualification européenne.

De plus, les finances sont saines grâce à une gestion attentive et à un recrutement à la fois judicieux et heureux, le nouveau stade, à partir de la nouvelle saison, sera l’outil qui permettra un bond en avant dans la construction d’un club solide et attractif si de nouveaux investisseurs venaient à se manifester… et, cerise sur un déjà bien joli gâteau, le nouveau centre d’entraînement sera également opérationnel en 2014.

Le skipper en charge du sportif a toutes les raisons d’être souriant au delà de son style sobre et peu volubile.

Après les déboires lyonnais, le projet niçois a été un défi choisi par le coach azuréen avec conviction et dans la perspective d’un plan à long terme. La construction d’une équipe qui lui rassemble profondément avec des jeunes et moins jeunes, sérieux et appliqués, la capacité de créer un lien actif avec le centre de formation et valoriser ses meilleurs éléments, l’arrivée d’une pépite inattendue comme Dario Cvitanich …, le feeling immédiat avec le public niçois, la bonne entente avec un président qui ne veut pas composer l’équipe, les bons résultats sportifs qui mettent de l’huile dans le moteur et donnent une ambition supplémentaire et le brin de chance qui ne fait jamais du mal…

Et pour l’avenir ? Si on regardait vers l’Europe à présent qu’on ne doit plus regarder la zone rouge un peu plus bas ?

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