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19 avril 2024

Le 15ème Festival Télérama à l’Espace Magnan de Nice

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Le Festival Télérama, à l’Espace Magnan, se déroule du 18 au 24 janvier 2012, et permet de voir ou revoir 7 des meilleurs films de l’année 2011, parmi les 15 sélectionnés par la rédaction du magazine Télérama.


telerama-magnan.jpg Vous n’avez pas encore vu Les bouleversants et enchantés Bien-Aimés de Christophe Honoré, Black Swan de Darren Aronofsky et sa comédienne oscarisée Natalie Portman, Michel Piccoli et Nanni Moretti dans leur Habemus Papam, le grand (Prix du festival de Cannes) Il était une fois en Anatolie de Nuri Bilge Ceylan, Les Neiges du Kilimandjaro de Guédiguian et sa fidèle équipe, Une
Séparation d’Ashgar Farhadi, lauréat de pas moins de 6 Prix dont 2 Ours (Ours d’Or et Ours d’Argent) au Festival de Berlin et le coup de coeur des lecteurs du magazine Télérama, ou encore le tendre et intelligent Tomboy de Céline Sciamma… ?

Ou vous mourrez d’envie de les revoir sur grand écran en version originale (soustitrée en français)?? Un peu de patience…

C’est aussi l’occasion de voir ces films avec un nouveau regard, avec de nouvelles clés de lecture et de compréhension : grâce à l’intervention de spécialistes du cinéma, journalistes, critiques ou universitaires,
qui interviennent autour d’un film, lors d’une soirée, pour échanger avec le public, approfondir une thématique abordée, resituer le film dans l’oeuvre de son cinéaste, …

Cette année, Daniel Rocchia, enseignant et critique de cinéma, se penchera sur le film iranien Une Séparation . Pour mémoire, il avait déjà participé au Festival Télérama à l’Espace Magnan en 2011 en animant le débat autour du film hispano-argentin Dans ses yeux (El secreto de sus ojos) de Juan José Campanella.

Et Alexandre Tylski, directeur de la revue Cadrage et critique de cinéma (Positif, Radio France, TCM), couvrira de son regard affuté le thriller psychologique Black Swan .

Alexandre Tylski, également enseignant-chercheur en audiovisuel, auteur de quinze court-métrages, huit recueils et quatre-vingt conférences sur le cinéma, nous a confié l’angle d’intervention avec lequel il espère aborder ce film
tourmenté et puissant :
« Que dire de Black Swan si ce n’est célébrer ce portrait de femme(s) d’aujourd’hui, complexe et physique, sur la passion (de l’art et de l’autre) plutôt que sur le travail, sur la belle et folle subjectivité plutôt que sur la paranoïa, sur le désir brûlant plutôt que sur la mort. Un film qui scande dans un bel entêtement : le monde est dans ma tête, mon corps est dans le monde. «

par Sarah Bourne

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