« Coldplay au stade Charles Ehrmann, mardi 22 mai » c’était L’évènement tant attendu. Et c’est en mettant le feu (d’artifice) à la scène niçoise que le groupe entre sur les planches. Premières secondes de spectacle, on en a déjà plein yeux, la hauteur du show est annoncée !
Chris Martin et son band avaient prévu de commencer leur concert à 22h, laissant place à deux premières parties et un écran de transition qui nous incite à enfiler nos bracelets (distribués à l’entrée), mais… pourquoi donc ?
Chacune des 50 000 personnes (environ) présentes ce mardi avait à son bras un bracelet de couleur qui s’éclairait au bon vouloir du groupe, allant jusqu’à clignoter au rythme de certaines musiques. Le parc se transforme alors en taverne géante de lucioles aspergées de confettis et admiratives des faisceaux lumineux projetés dans le ciel.
Que de moyens ! Une vraie machine.
Leurs plus grands tubes y passent, de « In My Place » à « Paradise » en passant par « Viva la Vida » et « Clocks », on entendra dans la foule « c’est celle là ma préférée !!! ». De belles découvertes également sur les titres du nouvel album, « Mylo Xyloto », et surtout des envolées vocales à la Martin qui passe sans problème aucun d’une octave à l’autre.
Et bien non, le chemin s’est monté en quelques minutes pour accueillir le groupe lui-même, qui honorera son rappel loin de la scène principale, pour le plus grand plaisir de « l’entrée sud / pelouse debout » qui dégaine appareils photos, iphone, android & co’ afin d’immortaliser ce moment.
Lorsqu’on demande le verdict à la salle, les mots qui reviennent le plus souvent sont : « magique », « mythique », « énorme », « grand ». Bref, rien de très déplaisant 😉
Coldplay, un groupe qu’on écoute donc volontiers en voiture ou à la maison, mais aussi et indiscutablement un groupe à découvrir sur scène, comme tous les grands de ce monde.
A 23h30, fin du show, malheureux que ce soit déjà terminé.
« Lights go out and we can’t be saved… »