
A l’ombre des pins, où fraîcheur régnait, les livres étaient rois. Du livre de poche au livre relié, de la bande dessinée au livre d’histoire, tout juste sorti de l’imprimerie ou vieux de 50 ans, les mots des pages ont cohabité sans rature avec leurs différences pendant ces trois jours. Et que dire des auteurs ! Une plume dans la main, un sourire au lèvre et « hop », ils personnalisent de leur plus belle écriture, leur livre devenu vôtre, restant à jamais unique. « Pour Marie, ce roman d’une fée qui redevient magique. Amicalement », original et romantique pour Didier Van Cauwelaert. « Pour Nice-Première, bonne chance dans ce métier », encouragement et rigueur pour Patrick Poivre d’Arvor.
Certains étalent leur vie, d’autres s’en inventent une ou plusieurs. Certains philosophent, d’autres informent. Ils ont tous un monde et une histoire à nous faire partager, un peu d’évasion dans un univers qui n’est pas le nôtre ne fait pas de mal.

Pendant ce festival, écrivains, romanciers, philosophes, historiens, comédiens, journalistes, conteurs, animateurs, dessinateurs et people sont partis à la rencontre de leur public, reparti les sacs remplis de livre pour accompagner leurs vacances.
Mais que pourrait-on lire pour l’été ? Nice-Première est parti faire un micro-trottoir pour vous aider dans votre quête.
Didier Van Cauwelaert : « J’en dirais deux. Celui de ma voisine, Isabelle Alexis « Premier soir », c’est super et Françoise Dorner « La douceur assassine » ,c’est magnifique. Et aussi, les livres de Boris Cyrulnik que j’aime beaucoup. »
Mylène Demongeot : « Je ne sais pas si vos lecteurs aiment les choses divertissantes ou les choses sérieuses. Moi, je viens de m’acheter le dernier de Jean-Claude Carrière, parce que je l’aime beaucoup. Je vais le lire. Ou sinon, je vous conseille le mien (Rires). »
Guillaume Musso : « Un livre très très beau « Le bizarre accident du chien pendant la nuit » de Mark Haddon, c’est un best-seller dans le monde entier. C’est un livre qui raconte une enquête policière vue à travers les yeux d’un jeune autiste de 15 ans qui enquête pour savoir qui a tué son chien. C‘est une vision un peu décalé du monde. Ou sinon, dans la littérature dite amoureuse, « Belle du seigneur » d’Albert Cohen, qui raconte l’anatomie d’une passion. Au début la rencontre, l’histoire d’amour, l’amour qui rend fou puis la descente de cette passion, le couple explose. Une histoire d’amour très, très belle, mais aussi très triste. »
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