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Nice
29 mars 2024

Réception officielle au Palais de la Préfecture pour les voeux de 2011

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Atmosphère habituelle de ces circonstances : nomenclature locale, personnalités, invités à titre divers, aspirants de la vie mondaine étaient au rendez-vous avec l’espoir de voir et surtout l’ambition d’être vus.
Bref, le scénario classique du « social climbing » qu’on retrouve partout et presque trop souvent en ces circonstances, les mêmes sourires figés et les mêmes prouesses athlétiques pour figurer sur la photo officielle à côte des ‘tout-puissants’


prefnice.jpg Soirée officielle des vœux dans les magnifiques salons du Palais des Sarde, jadis résidence royale. Sous les lambris et la statue célébrant « Nice qui se donne à la France », Monsieur le Préfet recevait les autorités civiles, militaires et religieuses, corps constitués et les invités pour cette cérémonie protocolaire avec, à ses côtés le député-maire de Nice Christian Estrosi, le député-Président du Conseil Général Eric Ciotti en présence, comme hôte d’honneur, du président du Conseil régional Michel Vauzelle.

Les discours officiels furent également ceux de circonstance avec la célébration de Nice et sa spécificité dans le cadre territorial régional et ses ambitions méditerranéennes, chaque orateur jouant la partition due à sa charge publique et son profil personnel (que nous avons classé suivant les quatre mouvements de la Symphonie n° 9 de L. Van Beethoven qui est fréquemment jouée dans les concerts des fêtes de fin d’année) :

  • allegro ma non troppo, un poco maestoso : Monsieur le Préfet
  • molto vivace : le Président du CG06
  • adagio molto e cantabile : le Président du Conseil Régional
  • finale presto : le Maire de Nice

Et pour finir la « fève’ de la galette des Rois » : Michel Vauzelle déclara le soutien moral et surtout pécunier du Conseil Régional au projet du Grand Stade niçois, assurant un traitement d’égal à égal entre l’enceinte niçoise qui a perdu son Olympic pour devenir une banal Nice Stadium et la rénovation du Stade Vélodrome de Marseille.

Comme quoi, finies les polémiques, oubliées les rivalités et pour une fois… égalité (de subvention) pouvait faire rime avec fraternité (entre Nice et Marseille) sur un Air final de « Ode à la Joie » (poème de F. Von Schiller et mise en musique par L. Van Beethoven, Symphonie n° 9).

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