

« C’est une question d’équité avec les autres écoles maternelles du département » rétorque Pierre Judenne inspecteur d’académie, à Nathalie Chevalier, présidente de la FCPE, et parent d’élève, qui s’indigne des conséquences de ce manque de moyen : « je ne comprend pas que l’administration ne considère pas les enfants de moins de deux ans comme des personnes à part entière ».
Brigitte Ferrari, la présidente du conseil de quartier a annoncé qu’elle soutenait la demande d’ouverture, mais ne participerait pas aux mobilisations parentales. Jusqu’à jeudi, date de la décision académique, qui a trés peu de chance de satisfaire les revendications, une permanence de parents d’élève sera présente dans la cours de l’école.
Nathalie Chevalier confie que l’exaspération des parents est sérieuse car la revendication avait été formulée un an auparavant. C’est pourquoi, une mobilisation en cas de réponse négative est envisagée. La décision définitive de l’inspecteur d’académie tombera jeudi, mais les chances qu’elle satisfasse la revendication des parents sont minimes.
