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26 avril 2024

Chenille Lovgren, une étudiante canadienne suit des cours à l’Ipag de Nice le temps d’un semestre

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© Photo DR
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« Déjà quand j’étais plus jeune, je voulais partir en France », confie Chenille Lovgren. « Je devais choisir entre Paris et Nice ». Chenille a préféré venir s’installer à Nice, pendant six mois, pour poursuivre ses études. Depuis une semaine, cette jeune étudiante de 20 ans originaire de Calgary (la plus grande ville de la province canadienne de l’Alberta), suit une formation de « Bachelor business administration », à l’Ipag. Voilà plus de dix ans que cette école de commerce entretient des liens étroits avec 95 universités dans le monde. Elle reçoit chaque année des étudiants venus des quatre coins du globe dans le cadre du programme Erasmus. À leur tour, les étudiants de l’Ipag ont la possibilité de suivre une formation dans le pays de leur choix. Pour pouvoir venir étudier à l’Ipag, Chenille a été sélectionnée par son université.

Un changement important

Arrivée il y a trois semaines sur la Côte d’Azur, Chenille s’habitue petit à petit à sa nouvelle vie. Un vrai challenge pour elle étant donné qu’elle ne parle pas français. Mais elle semble apprécier sa vie au soleil. Selon elle, les Niçois ont un goût pour la vie plus prononcé qu’au Canada. « Here, they work to live, instead of living to just work ». Comprenez que les Niçois travaillent pour vivre au lieu de vivre pour travailler. Mais Chenille semble avoir le « zest for life », la joie de vivre. Elle ne manque pas d’humour.

Avant de débuter ses cours, elle a eu le temps « d’explorer la ville » et a eu l’occasion d’établir des comparaisons avec son pays d’origine : elle affirme qu’en France c’est « beaucoup plus petit qu’au Canada. Les voitures et les rues sont plus petites ». « Ici, il fait définitivement plus chaud », ajoute-t-elle avec humour. Il faut dire que la température actuelle à Calgary ne doit pas dépasser les 5 degrés. Chenille a dû s’adapter à la ville mais il a aussi fallu qu’elle se familiarise avec l’enseignement pédagogique à la française : « ici, mes cours durent trois heures une fois par semaine. Au Canada, j’ai le même cours réparti trois fois par semaine ».

Pour le moment, son pays ne lui manque pas. Elle s’est fait de nouveaux amis. Mais qui sait ? Peut-être qu’elle trouvera l’hiver niçois trop chaud…

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